Je suis en primaire. Sous le préau et il fait beau..la lumière était belle car le préau était avec une verrière verte. C'était la plus belle école qui soit. J'étais la reine de l'élastique avec mes grandes jambes. Je courais toujours et j'étais une enfant joyeuse, souriante et très joueuse. J'ai des images des recréés et assez peu des moments scolaires . Je joue à loup et cours dans toute la cour.
Sans regarder , j'approche d'Hubert et renverse sa collection de timbre. Il était grand et assez peu bavard. Il était souvent rejeté des autres.
L'image s'arrête . Il attrape mon bras et me fais pivoter d'un coup . Je devais être en nage de ma course . Il m'a giflé et c'était douloureux. Elle était puissante et pas donnée à moitié. Je suis restée interdite et j'en menais pas large. J'ai pas pleuré mais je me suis sentie calmée d'un coup , j'avais un peu peur aussi . J'ai senti sa colère et l'importance que ses timbres avaient . Je ne me souviens plus de la suite mais j'imagine que je suis partie piteuse, la tête baissée et la joue rouge .
Cela aurait pu devenir une pratique érotique d'adulte car cette scène avait une tension dont je me souviens. Mais non... Je n'ai aucun autre souvenir de gifle.
Hubert... y'a de quoi être en colère quand même.
RépondreSupprimerMoi il s'appelait Idris et j'étais au Collège. Je ne lui ai pas renversé ses timbres, il était simplement jaloux je crois alors que toutes mes pensées allaient vers lui et Dieu sait si j'avais l'âme exaltée à l'époque.
Ah ce qu'il était bête lui aussi, c'est fou.
La gifle, un de mes premiers fantasmes.
Je ne peux pas m'attarder mais j'aime bien cette petite série de #aie.
Cela aurait pu, oui, mais cela pourrait toujours ! ;-)
Mais il t'avait giflé ce Idris ? Non mais c'est fou .
RépondreSupprimerQuand j'étais en colère je donnais des coups de pied ou je tirais les cheveux des filles, les garçons je leur tirai la langue. Mais donner une gifle c'est pas donné à tout le monde .y a ceux qui donnent des gifles et les autres .
Oui, je n'ai pas ressenti ce geste comme une violence, même si ça l'était.
SupprimerRho, j'ai du mal à t'imaginer tirer sur les cheveux d'une fille !
Je n'ai pas souvenir d'avoir été en colère contre mes camarades.
Et puis la gamine que j'étais aurais dit à l'autre "je crois que je suis en colère" pour x ou x raison. J'aurais eu la compréhension de ma colère, ça n'aurait pas pu dériver en geste, rire. Je n'avais pas des réactions particulièrement enfantines.
J'ai dû découvrir cette option adulte !
Aujourd'hui, je n'hésiterais pas à tirer les cheveux d'un homme. :-)
Je faisais ça à mes sœurs et encore c'était au bout de 10 jours de provocation.j'étais franchement pas une peste ni une vilaine mais une gentille toujours partante . C'est ça qui me perd. Rire
SupprimerAh mais en pensant à mes sœurs j'ai oublié l'essentiel ( que j'ai déjà dû raconter ici) . On jouait à tête à claque. J'aimais pas car y en avait toujours une ( une claque ) qui partait trop fort.
Contrairement à toi je ne savais pas ( ne sais toujours pas ) mettre une raison à mon émotion. J'étais une boudeuse mutique. Et quand je boudais ça durait . Aujourd'hui j'arrive à bouder moins longtemps et à me remettre en question . Mais je boude encore .pas plus tard qu'hier !
Moi c'était "je te tiens par la barbichette, le premier qui rira aura une tapette."
RépondreSupprimerBon, je rigolais toujours rapidement donc c'était moyen à mon avantage ce jeu.
Je boude aussi, je suis assez susceptible, mais j'ai une susceptibilité éclair, je le suis/je ne le suis plus en un temps record et c'est d'ailleurs devenu un véritable jeu avec certaines personnes.
Si ça dure plus, ce n'est pas normal de mon côté, bouder n'est donc vraiment pas le mot adéquat.
Quel est le pourquoi de ta bouderie d'hier ? :-)
Tu ne sais pas ou tu n'assumes pas ce que tu ressens et qui te fait bouder ?
Ce n'est pas la même chose.
Je boudais parce que j'étais vexée. J'avais dit un truc faux( sur la prononciation d'un mot) et il a rigolé parce qu'il trouvait mon erreur mignonne. Son rire m'a vexé mais après 2-3 coups de pédales en vélo c'était passé mais quand même ^^
SupprimerC'est bien la susceptibilité éclair! Faut que j'essaie . Je boude , je boude plus, je boude , je boude plus .je boude , je boude plus...
SupprimerY a l'art aussi de sortir de la bouderie ! Tu fais comment ? Un tour sur toi même et hop un sourire ?
Il a suffi qu'on en parle pour que je le croise ce soir ! ;D
RépondreSupprimerTu lui avais donné rdv dans 10 ans , c'est ça la référence ? :)
SupprimerEt alors , comment il a grandi ce gifleur ?
On sait jamais, je tente un truc...
RépondreSupprimerPatrick Bruel...
;D
Il était grand à l'époque !
RépondreSupprimerOn s'est croisé à un stand que je tenais avec plusieurs personnes, il a ramené deux bouteilles de rosé pour tout le monde du coup. C'est sympa.
On s'était déjà revu il y a quelques années.
Non, j'aurais juste préféré croiser Brubru !
Et je ne sais pas... manifester ce que je ressens me suffit je crois. Une fois que je l'ai fait, ça va. :-)
Il s'appelait Johan, il était beau, gentil, j'avais 5 ans, lui 7. J'étais follllle amoureuse love love +++.
RépondreSupprimerJusqu'au jour où il m'a demandé de baisser ma culotte pour lui montrer ma prune. Je l'ai vraiment trouvé nullos et je l'ai dit à ma Maman. Chaque fois que je le croise, j'y pense, rire ! En plus, il est devenu moche, zéro regret de ne pas lui avoir montré ma prune :P
C'est joli prune comme petit nom ^^
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